Je m'étire , étant encore dans ma petite chaumière au bord d’une clairière, personne ne venait sauf ceux qui désiraient une potion. Ils connaissent le chemin à prendre et les petites sessions pour éviter mes pièges. Je n’aimais pas être déranger pour rien et puis je voyageais tout le temps, donc ma maison devait être garder. On ne sait jamais qui pourrait bien saccager ma maison. Enfin il était temps que je me lève le soleil pointe le bout de son nez, je pouvais le sentir sur ma peau. Je me lève donc du lit, allant prendre mes vêtements, à travers ma fenêtre je pouvais voir les oiseaux chanter, les petits animaux parcourir les arbres. C’était agréable de voir cela dès le matin, j’avais une chance inouïe, enfin pas forcément pour ceux qui habitent en forêt. Mais je ne me lasse jamais de voir cela, une fois prête j’allais donc prendre mon petit déjeuner. Je savais déjà ce que j’allais faire de ma journée, c’était tout évident, j’allais partir à la cueillette d'ingrédients, j’allais être à court de certains. Cela n’allait pas arranger les affaires , et puis j’avais du temps aucun client aujourd’hui, j’étais à peine revenu d’un voyage et puis j’avais précisé qu’il fallait un jour ou deux avant que je rentre.Si besoin il pouvait toujours envoyer un message, et si je suis là je leur répondrai volontiers. Mais pour l’heure j’étais entrain de prendre mon petit déjeuner, je ne devais pas penser au travail juste profité de l’instant présent. Et du calme de mon chez moi, j’aime bien voyager mais les grande ville son bruyante, j’aime le calme de la forêt. Je bue donc ma tisane au jasmin, puis je mange une tranche de pain au seigle.C’était mon petit déjeuné simple et sain, je m’emporte pas plus mal après tout.Voilà mon petit rituel du matin acheté qui consiste à déjeuner, je me lève donc et mets tout dans le bac, puis je sortis de chez moi. Je m’étire encore une fois en respirant l’air de la forêt. J’étais chez moi, que cela faisait du bien, j’allais donc prendre mon panier qui était accroché un peu plus loin.Une fois équipé comme il faut pour ma cueillette, je partis donc l’esprit en communion avec la nature. Oui j’aimais marcher pieds nus alors que cela pouvait être dangereux, mais seulement pour ceux qui ne connaissent pas l’endroit.

Au bout d’une demi-heure de route, j’arrive à destination, l’endroit était toujours aussi beau. Je ne me lasse jamais de venir ici, la clairière au chaudron était un endroit merveilleux. Et puis je pouvais trouvé de très bon ingrédient, alors autant se faire plaisir.J’avance donc afin de m’introduire un peu plus loin dans la clairière cherchant ce que j’avais besoin. Je ne met pas longtemps à trouver le premier ingrédient de ma liste et ainsi de suite. J’avance donc afin de m’introduire un peu plus loin dans la clairière cherchant ce que j’avais besoin. Je ne met pas longtemps à trouver le premier ingrédient de ma liste et ainsi de suite.La cueillette fut assez rapide enfin pas tant que ça, il m’en manque un qui se trouve près de la cuve où il avait le tourbillon bouillonnant, c’était une fleur rare qui pousse seulement là, il en avait quelque mais personne n'avait encore pensé à les utiliser mais moi si.Cette plante m’était utilisée pour ma potion spécial, enfin j’allais donc la chercher restant prudente. Je ne voulais pas tomber dans l’eau, cela risque de me coûter la vie, et j' avais encore temps de chose à voir dans ce monde. J'ai réussi à l’avoir tant bien que mal, une fois cela attrapé, j’allais m’installer contre un rocher, et me mis à cueillir des fleurs autour de moi. De la je m’amuse à faire des couronnes de fleurs, comme je faisais avec ma maman quand j’étais une jeune elfe.

Je passe le temps de cette manière, je n'ai pas envie de rentrer tout de suite. J’avais envie de profiter de ce moment rien qu'à moi. J’étais tellement entourée de monde ces derniers temps, que ce calme me fit du bien.C’était le défaut des grandes villes, il y avait tellement de gens, que ça devient vite étouffer surtout qu’on a l’habitude de vivre seule en pleine nature. Je souris sentant la brise du vent sur mon visage, mes cheveux qui flotte, j’étais heureuse.

Je regardais mon champ, le menton posé sur ma bêche. Les plantes et légumes pousseraient lentement. ça ne poussaient pas par magie, c'était un travail fastidieux mais je préférais ça que tuer de sang froid. Cette pensée me tira un rire. je n'avais jamais eu de remord jusqu'à aujourd'hui. Jusqu'à voir la mort en face moi. Plantant ma bêche dans le sol, je décidai d'aller me promener. C'était une belle journée et je souhaitait en profiter. Enfermant mes quelques volailles dans leur poulaillers, je pris un sac avec de quoi grignoter puis me mis en route. Je ne savais pas où je souhaitais aller mais c'était toujours agréable de laisser aller ses jambes vers une destination inconnue.

Ma promenade dura une bonnes dizaines de minutes avant que j'atteigne une clairière verdoyante. Au centre de celle-ci, une elfe ramassait des plantes. Je ne me souvenais pas l'avoir déjà vu mais elle était des plus inoffensive. Sans le remarquer, mon instinct de chasseur se mit en marche et j'activai ma peau de caméléon. L'éliminer aurait été si simple. L'assassinat aurait été trop voyant mais son innocence la rendait des plus simple à éliminer. Sortant une pomme, je m’essaya contre un arbre, m'amusant à l'observer de loin, telle un prédateur envers sa proie. Mais de moi, elle ne risquait rien, je m'étais juré de ne plus tuer, mais cette vision d'innocence était des plus agréables à regarder. Finalement, ma proie se leva et partie dans une autre direction.

La suivant, à l’abri des fourrés, je l'analysais. contrairement à moi, elle semblait être né au sein des plantes. Elle semblait, de manière innée, les connaitre. Mais une question me taraudait l'esprit et ma curiosité en était des plus accablante; avait-elle déjà connu la mort ? Je la vis se diriger vers la cuve. De ma cachette, je leva un sourcil. Innocence et courage, le pire des mélanges. Si j'avais eu ce mélange, je serait morte bien des fois. Trouvant un angle de vue correcte, je pus l'observer tenter d'attraper une plante qui m'était inconnu. Mal située, cette plante pouvait tuer n'importe qu'elle personne trop entreprenante, mais à ma grande surprise, l'autre elfe parvint à l'attraper à force de contorsion. Elle semblait y être habituer. Je l'observa ensuite s'amuser à tisser des couronnes de fleurs. à cette vue, une petite voix me déclara que c'était le moment mais je la muselai sur le champ. Il était hors de question de tuer. Mais elle avait raison, l'elfe était des plus vulnérables en cet instant. Et dans le coin, je n'étais pas le seul prédateur. Je pouvais apercevoir un loup qui,déjà, s'avançait vers la jeune elfe. N'ayant pas d'arme, je ne pouvais la défendre correctement et même si, je le pouvais, la présence de la cuve était dangereuse pour nous 3. Rapidement, je trouva une façon de ne tuer personne et ramassai une branche morte, attendant le bon moment pour agir. Il arriva au moment où la jeune elfe eut finit sa couronne de fleur. Dans un même mouvement, le loup se jeta hors de sa cachette alors que je lançai ma branche sur le canidés. La jeune elfe, hurla de surprise et pris la fuite, oubliant son panier de plante. Quand au loup, il se ramassa la branche dans la gueule, poussant un cri de douleur. Mon acte de générosité fini, je sortis de cette zone, ramassant la panier oublié et rejoignis l'elfe un peu plus loin. Rompant mon sort de caméléon, je m'en approchai alors qu'elle se mit sur la défensif. Levant les mains en signe de paix, je lui sourit et lui montre le panier :

- Vous avez oublié ceci. Je doute que cela intéresse le loup donc je vous le ramène !

Terminant quelque couronne de fleurs, il m’était pourtant risqué de faire cela. Je le savais, la nature pouvait se montrer dangereuse, surtout qu’il avait des loups solitaires qui avaient l’habitude de s’attaquer aux proies faciles de mon genre, enfin facile c’est vite dit. Je connaissais la magie donc je pouvais me défendre. Sauf qu’un bâton jaillit de nulle partiparte s’attaquant au loup, je pousse un cri et me mets à courir pas à cause du loup mais de la personne invisible, cela devait être un autre elfe. Est-ce qu’on était venue l’assassiner, parce qu’elle connaissait certains secrets de la royauté elfique et qu’il avait peur qu’elle le divulgue à quoi qu'on voulait savoir.Je cours donc me mettre à l’abri derrière des aubépines, qui étaient assez lacérées, il fallait connaître la plante pour ne pas se blesser. Je vis mon panier avancer seul, en effet c’était quelqu’un qui utilise la peau de caméléon, donc de notre race. Le panier est déposé à terre et une voix se fait entendre. C’était un elfe qui se dévoile, je la regarde un peu intriguée. Celle-ci ne me voulait pas de mal, mais comment la croire, surtout qu’elle était plus jeune que moi cela se voyait. La regardant, sans pour autant sortir de ma cachette, je lui dis alors.

comment puis-je savoir si cela est la vérité

C’est dernier temps on avait essayé de me tuer, je pouvais faire toute sorte de portion et je n'étais pas vraiment attacher à mon peuple. Je suis plutôt une nomade de travail pour qui le veut en quelque sorte, donc il est normal qu’on veuille ma mort. Elle pouvait très bien dissimuler ses intentions derrière son joli sourire. Je n’étais pas dupe, j’avais lancé l’un de mes sorts en douce, sans qu’elle le voie. Ses pieds étaient liés au sol, enfin je ne la retenais pas captive non plus. Mais c’était au cas où elle m’attaque.

- qui êtes vous?

demandais-je toujours méfiante, les elfes pouvaient se montrer sournois plus qu’une autre race. J’étais bien au courant de cela, au bout d’un moment je sors de ma cachette, sans aucune égratignure, me plaçant devant la jeune femme. Je n’avais pas peur d’elle, ni de la mort, combien de gens qui sont morts lors des guerres, d’épidémies. Notre de personne qu’elle a cousue car il se trouve à proximité de son chez elle pourtant bien isolé. La blondinette cache son jeu, elle n’était pas si innocente, donc qu’est-ce qu’elle me veut, est-ce un assassin à la botte du roi ou d’un autre royaume, cela ne serait pas le premium qui travaille pour d'autres pays.

Trop bonne, trop conne comme on disait. Ayant aperçu cette jeune proie innocente se promener, je l'avais suivi. Elle était naïve, jeune et si indiscrète. Elle avait de la chance que je l'ai suivi, un loup ayant eu envie de la transformer en casse-croute. D'un bâton volant, je calmai les envies de l'animal et vis la jeune elfe fuir le danger que le loup représentais. Ou moi. Prenant son panier, je lui rapportai en lui disant qu'elle l'avais oublié et je le posai à bonne distance d'elle. Ne la voyant pas avancer et me lancer un regard suspicieux, je soupire doucement :

- Je ne vous ferait aucun mal, promis !

Sa réponse, complétement clichée fut de me demander si je ne mentais pas. Soupirant, je sorti la dague qui ne me quittait jamais et la lançai à ses pieds. Bien qu'utile, j'avais une autre arme, bien plus discrète. Je pouvais la tuer à main nu s'il le fallait. Tentant de reculer, je remarquai vite que quelque chose retenant mes jambes. Baissant les yeux, je vis des herbes autour des mes jambes et compris que j’étais bien bloqués. Même mes oiseaux ne m'aideraient pas ici. Et dire qu'il y a quelques secondes encore j'avais eu une dague dans ma poche pour me défendre. Elle vint ensuite me demander qui j'étais. Relevant la tête, je lui souris et je lui dit doucement :

- Demoiselle Eris Waldarüy, pour vous servir ! Et comment vous appelez vous ?

La regardant se présenter, je tentes quand même de me dégager... Saleté d'entrave rampante. Je savais que me libérer était difficile et qu'il y avait trois façon d'être libre; tuer le lanceur de sort, que celui-ci daigne à me libérer ou en coupant les entraves. En bref, j'étais actuellement inoffensive. Je disais quoi tout à l'heure ? Ah oui "Je pouvais la tuer à main nu s'il le fallait" j'allais avoir un peu dur pour l'instant. La regardant, je lui dit doucement :

- vous savez, c'est dangereux la forêt, il y a des loups affamés, des ours immenses !

"et d'inoffensive voleuse" aurais-je bien voulu rajouter mais fallait mieux ne pas lui faire trop peur. Elle semblait extrêmement peureuse et tentai en éspérant être libérer :

- Bon, puis-je être libérer ? Si un autre loup vient vous gouter, je pourrais pas intervenir !

Je n'avais jamais vu cet elfe, enfin elle était bien jeune sûrement plus jeune que moi, je vivais hors des villes elfiques en même temps, les autres elfes mon un peu déçu et je sais qu'il ne manquerait pas de m'éliminer car je suis reclus de leur société étant libre dans ma façon de penser. J'avais réussi à piège la jeune femme, elle venait de le remarquée, essaier despzrement me faire croire qu'elle ne veut pas me faire du mal, en ai-je la certitude. Je soupire d'agacement qu'est-ce qu'ils sont tous à promettre que leur attention ne soit pas mauvaise. Au moins elle était polie en se présentant, en retour elle demande que je me présente. Elle ne me connaissait pas ou alors c'était un piège, une diversion pour m'a ma douer. Mes lianne étaient toujours en train d'entraver ses pieds, elle ne pouvait pas s'en fuir autant lui dire comment je m'appelle.

Je m'appelle Elowië Faëlys et ici il n'y a que toi en créature menaçante. Le loup. N' allait pas me manger, je le connais, je connais la plupart de ses animaux sauvages comme tu dis. Mais pour moi c'est toi l'intrus.

Dis-je d'un air assez froid. J' étais peut-être un peu insociable il est vrai. Ne cherchant pas la compagnie des autres. Je souris à sa requête du fait qu'elle veut être libre. Je vous donnerai à manger au pire. Dis-je en souriant, elle n'a que la peau sur les os, et on sait tous qu'elle n'est pas très bonne à manger malgré son alimentation saine.

J' émets des doutes sur le fait que vous ne me voulez pas de mal. On essaie souvent de me tuer et je peux vous assure que ses pas les animaux sauvages.

Je dis cela en pure vérité, mais bon même si je n'aime pas mes semblables Mourier dévorés par une bête ses pas honorables comme mort. Je finis pas libéré ses pieds, mais j'étais prêt à me défendre, je n'avais pas que ce soit dans ma manche.

Je vous libérer mais si vos tantes une action hostile je vous entravais à nouveau

Voilà le message était clair quand même, je n'allais pas me laisser faire, surtout que généralement personne ne vient dans cette clairière en général.

Cette autre elfe m'agaçait légèrement. Me présentant de manière la plus polis, je lui dit juste après que la forêt est pleine d'animaux dangereux. Acceptant enfin de se présenter, elle me sort que le loup n'allait pas la manger car elle connaissait tous les animaux sauvage de la forêt. Je ne savais pas ce qu'elle fumais mais ça devait être de la bonne. Oui, je savais que les elfes, d'ordinaire, avaient de bons contacts avec la nature. Mais au point de n'avoir aucun problème avec la nature, cela était impossible. Néanmoins, je restai impassible et lui demandai juste de me libérer. Elle me déclara ensuite qu'on avait déjà intenter à sa vie et que c'était pas des animaux. Je dus retenir un rire. Elle croyait être la seule qu'on aie voulu assassiner ? Finalement, elle accepta enfin de me libérer et je senti ces fichus lianes me libérer les jambes. Reculant pour me dégourdir les jambes. M'asseyant, je lui dit :

- Vous savez ? Bien des gens ont été victime de tentatives d'assassinat, ça ne veut pas dire que tout le monde veut vous tuer !

Néanmoins, je notais qui étais cette personne; trop confiance en la nature, parano et stupide. En bref, c'était une elfe. remarque aberrante l'étant moi même mais je connaissais le monde extérieur, contraire à elle et je savais ce qu'il en coutait d'avoir peur de tout le monde... Ou même de rien. Mais je ne dit rien de ce que je pensais. La regardant plutôt, je lui dit en toute innocence :

- Un coup de main pour votre cueillette ou ça ira ?

J’avais donc libéré l’elfe devant moi, celle-ci alla se dégourdir les jambes. Ne lui fessant toujours pas confiance, après tous les assassins au doux sourire ça pouvait être n’importe qui. Je souris à ses dires, il est vrai qu’elle n’est pas la seule, mais elle connaissait les secrets du royaume et du fait de l’avoir quitté cela considérait comme un acte de trahison. Je m’avance doucement afin de sortir du buisson.

je sais, j’ai parfois aidé avec mes potions

Soufflais-je doucement, un peu tard, car mes potions servaient la plupart du temps à tuer, ou juste à rendre bien malade, mais très peu viennent pour des potions de soin ou autre. La jeune fille en face en savait quelque chose, c’était louche. Je vis le loup approcher doucement d'où on était, il vient donc vers moi, je le caresse puis avec mes lianes j’attrape un lapin et lui donne en offrande. Il avait déjà gardé ma maison pendant que j’étais parti. Puis je me tourne vers l’elfe qui propose son aide pour m’aider à cueillir mes ingrédients.

- ma fois, si vous avez rien d’autre à faire, je veux bien de votre aide. Les fleure que vous devais trouvé son des jacinthe

Dis-je prenant mon panier, j’avais quelque ingrédient à trouver et puis il se méfiait de moi si j’étais accompagné, après tout. Il n'oserait pas faire une victime innocente, enfin cela n’était que des suppositions. Je me dirige donc vers la clairière, là où j’avais le plus ingrédient à prendre.

- Il est vrai que je me suis montrée extrêmement méfiante à votre égard, bien que je le sois encore, mais merci de proposer votre aide

Dis-je mon panier au bras, le loup était rassasié d’avoir eu un petit lapin à manger, je cherchais ce qu’il me faut absolument comme autre ingrédient, une autre fleure qui se trouve dans la clairière mais à hauteur cette fois-ci, je me dirige donc vers les rochers qui se trouvent un peu plus loin de là où nous sommes.